par Je ne sais pas vous, mais quand j’étais petite, le monstre sous mon lit avait une existence aussi crédible que le Père Noël ou la petite souris. Pourtant, pour un enfant du Kansas, la légende urbaine vient de prendre une tournure bien réelle… et franchement flippante ! Allez, installez-vous confortablement, car aujourd’hui sur BuzzDuSiecle.com, je vous raconte l’histoire qui donne enfin raison à tous les mômes du monde entier. (Oui, même à toi, qui as 32 ans et qui vérifies toujours sous ton lit avant de dormir ! 
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Quand la baby-sitter devient chasseuse de monstres 
Lundi dernier, à Great Bend, une petite ville tranquille du Kansas aux États-Unis (pour situer, c’est au milieu de nulle part, genre Limoges mais version US), une baby-sitter s’apprêtait à coucher un enfant quand celui-ci lui balance la phrase culte : "Il y a un monstre sous mon lit !" Classique, me direz-vous. Sauf que cette fois, il ne s’agissait ni d’une peluche oubliée, ni du chat de la famille, encore moins d’une chaussette solitaire perdue dans les ténèbres sous le matelas… Non, cette fois, le monstre était bien réel, et il avait un nom : Martin Villalobos Junior, 27 ans.
Oui oui, vous avez bien lu. Un homme adulte, planqué sous le lit d’un gosse. Alors là, niveau trouillomètre, on explose le compteur !
Panique sous le sommier : le monstre prend la fuite 
La baby-sitter, croyant rassurer le petit en mode "mais non mon chéri, regarde, y’a rien", tombe nez-à-nez avec ce fameux Martin, confortablement (ou pas) installé sous le lit. Le face-à-face tourne vite à la panique générale : le gars bouscule la nounou et l’enfant avant de s’enfuir comme un vrai méchant de dessin animé. Heureusement, plus de peur que de mal pour nos héros du soir !
Mais que faisait-il là, ce monstre ? 
Vous vous demandez sûrement pourquoi ce cher Martin jouait les monstres sous le lit ? Eh bien, figurez-vous que ce monsieur était un ancien locataire de la maison, mais surtout, il avait interdiction totale d’approcher la propriété en raison de violences passées. Visiblement, la notion de "distance de sécurité" lui a quelque peu échappé. Résultat : après une courte cavale digne d’un mauvais polar, il a été arrêté dès le lendemain par la police locale.
Le plus drôle (ou tragique, on hésite), c’est que notre monstre de compagnie collectionnait déjà les problèmes judiciaires : violences domestiques, menaces, cambriolages… Bref, un CV digne d’un méchant de film d’horreur. Sa caution ? Rien de moins que 500 000 dollars (environ 460 000 euros). Autant vous dire qu’il risque de passer un bon moment loin de tout sommier innocent !
Conseil d’experte Léa : Ce soir, avant de vous coucher, vérifiez bien sous votre lit. On ne sait jamais, peut-être qu’un voisin nostalgique s’y cache pour se remémorer de doux souvenirs immobiliers ! 
Allez, dormez bien quand même !
